Merci de m’avoir procuré ce vif plaisir. 

Jacqueline de Romilly, de l’Académie française

 

 

J’ai lu avec grand plaisir le beau texte que vous avez consacré à José Cabanis. Je l’admire en tant qu’écrivain, et je l’aime pour sa personnalité si attachante. Vous lui avez rendu un grand hommage.

Pierre Rosenberg, de l’Académie française

Ancien Directeur du Louvre

 

 

Merci pour cet exploit du cœur et du style (la fidélité, cette qualité rarissime, n’y étant pas étrangère).

Angelo Rinaldi, de l’Académie française

                                                                                                                              Successeur de J.Cabanis à l’AF

 

Je viens de terminer votre livre sur ‘Le Maître de Nollet’. C’est un livre vrai. Votre évocation de José Cabanis est fidèle, sensible et émouvante. Un portrait si vivant de notre ami…

André Bourin, du jury Renaudot

 

C’est un « tombeau » de Cabanis qui manquait.

Pierre Nouilhan (Toulouse)

 

J’ai lu d’un trait votre beau livre sur José Cabanis. On voudrait que cette belle communion d’âmes et de créateurs ne s’achevât jamais. Votre hommage est plus qu’une œuvre d’amitié et de piété : le sentiment d’une présence permanente au-delà de la mort.

Jacques Hennequin, Université de Metz

Ancien président de l’Académie de Metz

 

(Avec ce livre), vous faites vivre la lumière.

Maurice Druon, Secrétaire perpétuel honoraire de l’AF

 

J’ai lu le Maître de Nollet avec une grande satisfaction et je vous félicite d’avoir rendu mon mari si vivant et si vrai.

Madame José Cabanis

 

Un petit livre pudique et fervent… En littérature, les amis de nos amis deviennent nos amis.

Jérôme Garcin

Le Nouvel Observateur